Bismillah-ir-Rhaman-ir-Rahim

(Au Nom d’Allah le Gracieux et le Miséricordieux)

LA FAMILLE EN ISLAM

«Et parmi ses signes : IL a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et IL a mis entres vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent. »
(Le Saint Coran : Chapitre 30 verset 21)

La disparition, ou du moins la rareté du mariage au profit du concubinage et de l’union libre, a engendré la dégradation des liens familiaux, rongés par l’individualisme et l’égocentrisme. Les conséquences néfastes sur la société ne se sont pas fait attendre. Le relâchement des moeurs en est la plus évidente.

Aujourd’hui, le monde entier s’affole de voir s’installer l’anarchie, les séditions, le meurtre, la diffamation, le pillage, le désordre, la violation des droits de l’homme et des institutions ainsi que la démagogie, la trop grande faiblesse des gouvernements, amène à la une sorte d’anarchie sociale dans laquelle tous les principes de la morale sont bafoués. Les crimes les plus atroces ont toujours des défenseurs pour trouver des excuses à leurs auteurs et s’apitoyer sur leur sort, à défaut de pleurer sur celui des victimes, et personne ne réagit! Or, l’Islam peut offrir à la civilisation un ensemble d’institutions et de règles capables de la préserver de l’usure et des maladies qui minent les sociétés.

En matière de protection de la famille, par exemple, l’Islam a établi des règles et des valeurs admirables et solides qui la protègent et lui assurent stabilité et bonheur. Il a donné a chaque membre de la famille des droits et des devoirs vis-à-vis des autres membres afin de protéger la cohésion et l’harmonie au sein de cette famille. A cet égard, le témoignage d’un chrétien sur la stabilité de la famille musulmane trouve tout son sens :
« Au lieu de critiquer les sociétés islamiques sans vraiment les connaître, les Européens pourraient se demander si elles n’ont pas conservé des valeurs que nous avons perdues. J’ai souvent été frappé, pour ma part, par la déférence que de jeunes Musulmans et Musulmanes, élèves de l’enseignement secondaire ou universitaire, témoignent à un père manœuvre ou à une illettrée. Cette attitude de respect et de déférence a des origines diverses, dont certaines sont à chercher dans les structures même de la famille traditionnelle. Elle existait aussi chez nous, transmise jadis - bien plus que de nos jours – par des parents et grands-parents, l’instituteur et le curé. Mais le respect de jeunes Musulmans envers les générations précédentes trouve aussi son fondement dans des sources même de l’Islam. Le Coran, en effet, établit une étroite relation entre le culte rendu à Dieu et l’affection reconnaissante que tout croyant doit à ceux dont il tient la vie. »

Il est ici nécessaire de mettre en exergue la conception Islamique de la famille afin de montrer que, devant l’effondrement des valeurs de la famille avec toutes les conséquences que l’on sait, l’Islam offre aux Musulmans une alternative en la matière capable de sauvegarder la société des troubles qui menacent sa stabilité et sa quiétude.

L’individualisme en vogue dans la civilisation moderne a détruit en l’homme tout esprit communautaire ou familial. Il n’est jusqu’au partenariat conjugal qui ne soit contaminé par ce virus. En effet selon une enquête effectuée en 1948, Kinsey à découvert que la moitié des Américains mariés étaient infidèles avant l’age de quarante-cinq ans. Au cours des années 70, d’autres sexologues américains admettaient toujours que 50% des maris étaient infidèles, mais qu’ils avaient trompés leurs femmes avant l’age de trente-cinq ans.

Le rapport Simon, en 1972, précisait qu’en France, seulement 5% des maris et 3% des épouses admettaient avoir entretenu des relations extraconjugales régulières. 30% des hommes et 10% des femmes seulement disaient avoir trompé leur conjoint de manière fortuite, la plupart prétendent ne l’avoir fait qu’une ou deux fois!

Cependant, une nouvelle enquête effectuée par F. Randon Salmon en 1980, dans le milieu de la bourgeoisie essentiellement, révélait que 12% des femmes interrogées avaient plusieurs liaisons amoureuses simultanées au moment même de l’enquête, à laquelle il fallait rajouter celles qu’elles avaient eues dans le passé. 38% se disaient capables de faire l’amour sans être amoureuses et seulement 22% restaient fermement attachées au principe de la fidélité conjugale!

Les enfants, quant à eux, sont les premières victimes de cette dégénérescence de la société. N’étant élevés ni par la mère – comme dans le modèle traditionnel – ni par le couple moderne, mais par des individus ayant chacun sa façon de vivre, ils subissent, à leurs corps défendant, les erreurs de leurs « parents » ainsi que leurs déchirements.

L’affaiblissement des valeurs familiales et l’individualisme qui les a remplacées ont donné lieu à une dissolution des mœurs et à un relâchement de la morale sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Tout cela au nom de la modernité et de la liberté. Les vices les plus pervers sont érigés en un commerce lucratif qui a fini par submerger toutes les sociétés. Il en va ainsi de la pornographie, l’un des plus grands fléaux des temps modernes. Omniprésente sur les affiches qui ornent les murs des places et des rues, les cafés, les halls de gare et les stations de métro, elle s’impose sans relâche au regard de chacun, tandis que d’ignobles revues, bandes dessinées et vidéos casettes sont largement étalés sur les rayons des grandes surfaces ou proposées à tous les publics dans les stations-service des autoroutes, les magasins de presse et les kiosques à journaux. L’intimité même de la plupart des foyers n’y résiste pas, puisqu’elle y a également accès, grâce au Minitel, à la télévision et aux journaux publicitaires gratuits qui, en majorité, véhiculent, entre autres, des messages incitant à la débauche.

Lisez ce témoignage de Ted Bundy, exécuté à Starks (Floride) le 24 janvier 1989. Dix-sept heures avant son exécution, il répond aux questions du Dr. Bobson, président du « Focus on the Family ». Il avait agressé sexuellement et assassiné vingt-huit femmes. Or il était né et avait été élevé dans un milieu familial idéal par deux parents attentifs et aimants. Chez lui et à l’école, que des bons exemples et de bons principes. Mais «à l’age de douze ans ou treize ans, je rencontrai la pornographie douce dans les rayons d’une épicerie.»

Sait-on aussi que les pays où la débauche sexuelle et la plus forte sont ceux où l’auto mortalité (le suicide) est la plus élevée?
… Si je fait la somme des suicides liés à la sexualité, des avortements, des enfants torturés et des victimes du Sida, j’arrive à se fait incontournable :
«Ces pratiques font plus de victimes qu’une guerre à armes conventionnelles.»

Comme nous pouvons le lire, la perte des valeurs familiales a entraîné une généralisation du relâchement des mœurs et la multiplication des crimes sexuels.

C’est pourquoi les jeunes doivent connaître les conséquences qui risquent d’être terribles pour leur équilibre. Ils doivent savoir que l’Islam propose une conception de la famille qui met à l’abri des déchirements et fléaux sociaux en assurant à la société équilibre et stabilité.

« La corruption est apparue sur la terre et dans la mer à cause de ce que les gens ont accompli de leurs propres mains; afin qu’ (Allah) leur fasse goûter une partie de ce qu’ils ont œuvré, peut-être reviendrons-ils (vers Allah). »
(Le Saint Coran, Chapitre 30 - verset 41)

« … ils apprennent auprès d’eux ce qui sème la désunion entre l’homme et son épouse. Or ils ne sont capables de nuire à personne qu’avec la permission d’Allah. Et les gens apprennent ce qui leur nuit et ne leur est pas profitables … Certes, quelle détestable marchandise pour laquelle ils ont vendu leur âmes! Si seulement ils savaient. »
(Le Saint Coran, Chapitre 2 - verset 102)


L’ISLAM PROTEGE LA FAMILLE

L’Islam accorde une grande importance à la stabilité et à l’équilibre de la famille, compte tenu de la place qu’elle occupe dans la société. Il considère comme un grand crime le fait de vouloir séparer un couple uni: Dans un Hadith (tradition), Le Prophète (Paix soit sur lui) a dit que le pire des actes qui réjouisse Satan, consiste pour ses suppôts a séparer un homme de son épouse. C’est dire combien l’Islam tient à la solidité des liens qui unissent le couple, et n’admet rien qui puisse diviser les conjoints.

En effet, une famille unie et soudée – autour des principes de l’Islam est un jalon de plus dans la consolidation de notre société.

A l’origine de la famille, il y a le couple, l’homme et la femme. C’est sur leurs épaules que s’appuie l’édifice familial :
« O Hommes, nous avons créés d’un male et d’une femelle et nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entre connaissiez … ».
(Le Saint Coran, Chapitre 49 - verset 13)

Pour que la famille qui se construits ait des fondements solides et des racines nobles, le Saint Coran insiste sur l’honorabilité et la bonne éducation des époux. Le Prophète (Paix soit sur lui) a dit :
« Si un homme vient vous demander la main de votre fille et que son éducation vous plaise, donnez-la lui. » Il en est de même pour la femme : « On épouse une femme pour quatre raison : sa fortune, sa noblesse, sa beauté ou sa piété. Mets la main sur cette dernière, (sinon) puisses-tu ne pas te relever. »

Le couple ainsi constitué, est un noyau solide qui voit le jour au sein de la société. A son tour, il constituera la cellule familiale, avec la venue des enfants qui trouverons le terrain propice à un épanouissement sain et équilibré.

En effet, l’Islam se préoccupe de l’éducation des enfants avant leur venue au monde en ce sens que le choix d’une épouse honorable prépare un terrain favourable à une bonne éducation. Dés leur naissance, les parents sont responsables de leur éducation.

Le Prophète (Paix soit sur lui) a dit à ce propos :
« … l’homme est le berger des siens est il est responsable de son troupeau ; la femme est une bergère dans la demeure de son mari et elle sera responsable de son troupeau. »

La famille ainsi constituée, parents et enfants y compris, l’Islam prescrit aux uns et aux autres des obligations et des droits.

D’abord, Il recommande aux parents de bien prendre soin de l’éducation de leurs enfants car c’est d’elle que dépend leur salut éternel.
« O vous qui avez cru ! Préserver vos personnes et vos familles, d’un feu dont la combustible sera les gens et les pierre … »
(Le Saint Coran, Chapitre 66 - verset 6)

Il exhorte plutôt les croyants à faire de leurs familles un sujet de satisfaction en sollicitant l’aide de Dieu.

« Et qui disent : « Seigneur donne-nous en nos épouses et nos descendants, al joie de nos yeux, et fais de nous un guide pour les pieux. »
(Le Saint Coran, Chapitre 25 - verset 74)

L’Islam considère qu’une progéniture mal éduquée et mal guidée peut être la source de nombreuse difficultés pour les parents.

« Quant au garçon, ses père et mère étaient des croyants ; mais nous avons craint qu’il ne leur imposât la rébellion et la mécréances. »
(Le Saint Coran, Chapitre 18 - verset 80)

Cependant, pour cette éducation soit efficace et porte ses fruits, il est nécessaire qu’elle s’accompagne de tendresse et de justice vis-à-vis des enfants. Il est dit dans un hadith :
« Craignez Dieu et soyez juste envers vos enfants. »
(Boukhari et Mouslim)

An’Nouman ibn Bachir a rapporté : « Mon père m’amena chez l’Envoyé de Dieu (paix soit sur lui) et lui dit : « O Envoyé de Dieu ! Sois témoin que j’ai fait un don de mes biens à mon fils An’Nouman de telle et telle chose. » Le Prophète (paix soit sur lui) l’interrogea : « As-tu donné la même chose à tes autres enfants comme tu l’as fait pour An’Nouman ? » « Non » répondit mon père. « Alors prends un autre témoin que moi. Ne voudrais-tu pas qu’ils soient tous égaux à ton égard ? » « Certes oui » dit mon père. « Alors, ne fais pas cela et reprends ce que tu lui as donné. » répliqua le Prophète (paix soit sur lui). (Mouslim)

L’Islam a beaucoup insisté sur l’amour et la tendresse envers les enfants.

Un homme dit un jour à l’apôtre de Dieu : « J’ai dix enfants et je n’ai jamais embrassé l’un deux. » Le Prophète (paix soit sur lui) le regarda et dit : « Qui n’est pas tendre ici-bas ne bénéficiera pas de la tendresse d’Allah dans l’au-delà. » (Boukhari et Mouslim).

L’envoyé de Dieu (paix soit sur lui) a personnellement donné le meilleur exemple d’amour et de tendresse à l’égard des enfants. On rapporte qu’il aimait profondément Al Hassan et Al Housein et jouait souvent avec eux.

Abou Houreira a rapporté ce qui suit : « Le Prophète (paix soit sur lui) s’assit dans la cour de la maison de Fâtima (sa fille) et appela : « Es-tu là enfant ? Es-tu là enfant ? » Fâtima reteint un instant son fils Al Hassan et je pensais qu’elle lui mettait un grain de collier constitué de racines odoriférants, ou qu’elle le lavais ; c’est alors qu’il arriva en hâte et je vis le Prophète (paix soit sur lui) lui mettre les bras autour du cou, l’embrasser et dire : « O Dieu, aime-le et aime celui qui l’aimera.» (Boukhari et Mouslim)

C’est dire combien l’Islam veille à l’éducation des enfants et à leur équilibre psychologique en leur assurant amours et tendresse au sein de leur famille.

En revanche, L’Islam recommande aux enfants, une fois adulte obéissance et respect à l’égard de leurs parents. C’est là une règle coranique rigoureuse :
« Et ton Seigneur a décrété : N’adorez que lui, et [marquez] de la bonté envers les père et mère ; si l’un d’eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi, alors ne leurs dit point : « Fi ! » et ne les brusque pas, mais adresse leur des paroles respectueuses. »
« Et par miséricorde, abaisse pour eux l’aile et l’humilité et dis : « O mon Seigneur, fais-leur, à tous deux, miséricorde comme ils m’ont élevé tout petit. »
(Le Saint Coran, Chapitre 17, versets 23-24).


Dans un autre verset Il est dit :
« Nous avons commandé à l’homme (la bienfaisance envers) son père et sa mère. Sa mère l’a porté (subissant pour lui) peine sur peine…. »
(Le Saint Coran, Chapitre 31, verset 14).

Le respect des parents est ordonné par l’Islam même si ceux-ci ne sont pas musulmans.

« Et si tous deux te forcent à M’associer ce dont tu n’as aucune connaissance, alors ne leurs obéis pas ; mais reste avec eux ici-bas de façon convenable … »
(Le Saint Coran, Chapitre 31, verset 15).

Par ailleurs, Asma la fille d’Abou Bakr à dit : « Ma mère vint me voir a lors qu’elle était polythéiste; c’était l’époque où les Koraïchites avait signé une trêve avec le Prophète (paix soit sur lui). Je consultait le Prophète (paix soit sur lui) disant : « Voici que ma mère est venue désirant ardemment me voir. La recevrai-je » « Oui, » répondit il. « Reçois ta mère. » (Boukhari et Mouslim)

Quant aux relations entre les parents, c’est-à-dire entre le couple constitué en mari et femme, elles sont également régies par des droits et obligations réciproques qui assurent aux deux partenaires une compréhension et une entente durable.

En ce qui concerne l’homme, il lui est recommandé d’être bon et correct à l’égard de son épouse : « … Et comportez-vous convenablement envers elles … »
(Le Saint Coran, Chapitre 4, verset 19).

Il exige la même chose de la femme: elle doit respecter son époux et lui obéir tant que cette obéissance ne va pas à l’encontre de sa foi et de ses obligations envers Dieu.

Pour le reste, les droits et obligations sont les mêmes :
« Quant à elles, elles ont des droits équivalent à leurs obligations, conformément à la bienséance. »
(Le Saint Coran, Chapitre 2, verset 228)
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Dans un verset, nous lisons :
« … Aux hommes la part qu’ils ont acquise, et aux femmes la part qu’elles ont acquise … »
(Le Saint Coran, Chapitre 4, verset 32).


Partie intégrante de la composante humaine, la femme n’en est pas moins une entité autonome. Ses aptitudes inhérentes à son identité peuvent faire d’elle la maîtresse de la situation et le pivot central de l’événement, attestant ainsi de l’indépendance de sa personnalité. Ce fut ainsi qu’Assia, la femme de Pharaon, utilisa ses dons, en l’occurrence ses instincts maternels, en vue d’atteindre ce que sa foi lui avait dicté de faire: sauvegarder Moïse.

« Et la Femme de Pharaon dit : « [Cet enfant] réjouira mon œil et le tien ! Ne le tuez pas. Il pourrait nous être utile ou le prendrons-nous pour enfant … »
(Le Saint Coran, Chapitre 22, verset 9).


Les capacités innées ou raisonnées qu’exerce la femme lorsqu’elle assume certaines responsabilités peuvent, au contraire, faire triompher le faux sur le vrai comme fut le cas de la femme de Noé et de celle de Loth :
« Allah a été un parabole pour ceux qui ont mécru, la femme de Noé et la femme de Loth. Elles étaient sous l’autorité de deux vertueux de Nos serviteurs. Toutes deux les trahirent et ils ne furent d’aucune aide pour [ces deux femmes] vis-à-vis d’Allah. Et il [leur] fut dit : « Entrez au Feu toutes les deux avec ceux qui y entrent. »
(Le Saint Coran, Chapitre 66, verset 10).

Il en résulte que, du point de vue coranique, la femme est une entité autonome; sa féminité n’est pas une imperfection. Ce sont ses aptitudes qui peuvent l’inciter vers le bien ou vers le mal selon la force ou la faiblesse de sa foi. Ces exemples montrent avec évidence que la valeur de la femme et de l’homme, dans leurs rapports conjugaux, ne se mesure pas d’après la féminité ou de la masculinité de l’un et de l’autre. Leur engagement, qui les éloigne ou les rapproche des règles établies, les définit isolement. C’est dire que l’émancipation de la femme se conçoit dans le moule façonné par la foi. La femme de Pharaon est un modèle réaliste de cette émancipation. Il convient de comprendre que cette dernière ne se réalise pas en se révoltant contre l’homme et en engageant une guerre permanente contre lui. Elle se définit plutôt contre le mal, et d’une manière générale, contre toutes les formes de despotisme.

La religion de Dieu offre à la femme des points de repère qui l’aident à distinguer le vrai du faux et, partant à accepter le premier tout en rejetant le second. La femme croyante s’engage, en toute conscience, dans la voie de son émancipation, de façon à refuser le faux même s’il est érigé en loi humaine (et imposé par l’homme). Ce refus la libère des contraintes de la vie incompatible aux droits que l’Islam lui accorde, et la prépare à la concrétisation de bons usages prescrits par les valeurs islamiques.

Il est certain que les normes établies par l’Islam pour régir les relations au sein de la famille constituent autant de garde-fous pour empêcher et éviter toute déviation ou turbulence susceptible de détruire l’équilibre familial, avec des conséquences sociales que l’on connaît. Il incombe aux nouvelles générations imprégnées des valeurs de l’Islam de mettre en pratique les règles de la vie familiale édictées par le Saint Coran et la Sunnah (La pratique de Saint Prophète de l’Islam) afin de vivre dans la quiétude et le bonheur au sein d’un environnement stable et équilibré.