بسم الله الرحمن الرحيم

 

 

Sermon du Vendredi

 

HADHRAT AMIR’UL MUMINEEN MUHYI-UD-DIN

 

Munir Ahmad Azim


07 Février 2014 ~

(06 Rabi’oul Aakhir 1435 AH)

 

 

(Résumé du Sermon)

 

Après avoir salué tous ses disciples (et tous les musulmans) du monde entier – en mentionnant les iles avoisinants, et les pays tels que l’Inde, le Kerala, Trinidad et Tobago etc. – avec la Salutation de paix en Islam,  le Muhyi-ud-Din a commencé le sermon avec le Tashahhud, le Tauz, la Sourate Al Fatiha, et a ensuite dit :


Le terme
« Khatamoun-Nabiyyin » quand il est traduit littéralement signifie « Sceau des prophètes » et est grammaticalement un mot composé. C’est une question de connaissance commune que lorsque deux mots se rejoignent pour faire une phrase, ils ne donnent pas nécessairement leur sens littéral. Par exemple, ‘Ibne’ veut dire ‘fils’ et ‘Sabeel’ signifie ‘chemin’ ; mais quand ces mots sont joints ensemble pour faire ‘Ibne-Sabeel’ cela ne reflète pas un sens absolument littéral. Donc, nous ne considérons pas sa signification comme voulant dire : « Fils du Chemin ». Au contraire, cela signifie seulement un voyageur. Ces titres étaient aussi une pratique du Saint Prophète Muhammad (pssl) par lesquels il a appelé ses compagnons parfois selon des événements mémorables ou tout simplement en raison de la situation dans laquelle il les a trouvés. Par exemple, il a nommé son cousin, gendre et son quatrième successeur Ali (ra), Abou Tourab, qui signifie littéralement : Père de la terre/ du sable, ce qui bien sûr Hazrat Ali (ra) ne l’était pas littéralement, mais le Prophète d’Allah (pssl) lui a donné le nom comme un adjectif ou un attribut et non pas dans un sens littéral. Donc le vrai sens d’une phrase est déterminé par la grammaire, son utilisation dans la langue et le contexte dans lequel il est utilisé.


C’est une règle établie et immuable de la grammaire et la langue arabe que lorsque le mot
« Khatam » est utilisé dans la louange d’une personne et sa combinaison de mot est un « groupe de gens talentueux », il ne signifie jamais que la personne appelée « Khatam » est la dernière à apparaître en matière de temps. Il s’agit toujours que de l’avis de l’utilisateur, la personne concernée est le plus parfait et suprême dans ce « groupe de gens talentueux » et qu’il a atteint la dernière note et le grade final dans cette excellence particulière. La littérature islamique est pleine de ces cas et il n’y a aucun exemple qui peut être cité contre cette règle. Par exemple:


1.
Khatamoun-Choua’ra (Khatam des poètes) ne signifie jamais dernier poète (final), mais un poète parfait et de plus haut niveau, le meilleur réalisateur parmi les poètes.


2.
Khatamoun-Moufasareen (Khatam de commentateurs) ne signifie pas un dernier né de parmi les commentateurs, mais un commentateur suprême.


De même, le mot
« Khatam » a été utilisé avec de nombreux autres « groupes de personnes de talent » comme les « Mouhaqaqeen » (les enquêteurs), « Mouhadaseen » (journalistes), « Houkkam » (officiers), « Moualameen » (enseignants) et « Auliyya » (amis de Dieu). Dans aucun de ces termes le mot « Khatam » veut dire le dernier-né ou le dernier à apparaître dans le monde. Cela signifie seulement que, de l’avis de l’utilisateur, la personne appelée « Khatam » est le meilleur et le plus parfait de tous dans ce talent particulier qui appartient au groupe.


On peut, cependant, noter que lorsque
« Khatam » n’est pas utilisé dans le but de faire l’éloge d’une personne et son mot combinant n’est pas un groupe de gens talentueux, alors il signifie certainement le dernier ou à la fin en ce qui concerne le temps, parce que dans ce cas, il est utilisé non pas pour faire l’éloge de la personne pour quelque excellence ou talent mais comme une simple déclaration de fait. Par exemple, « Khatamoul-Aulad » (Khatam de fils) signifiera le dernier né, car de naître n’est pas un talent et le terme n’est pas utilisé pour louer le garçon, mais simplement pour souligner le fait qu’il est le plus jeune fils. De même, le terme « Khatamoul-Mouhajireen » que le Saint Prophète (pssl) a utilisé pour son oncle Abbas (ra) signifiera dernier à migrer (dans le contexte de l’Islam et de l’émigration à l’époque du Prophète (pssl)) parce que migrer n’est pas un talent, ni le terme est utilisé pour louer le dernier migrateur. La négligence de ce point est l’erreur la plus commune que, même les savants parmi les musulmans font ou prétendent faire. Ils préfèrent utiliser certains mots pour mettre du poids sur leur argumentation sourd en affirmant que le Saint Prophète Muhammad (pssl) est le dernier des prophètes de Dieu, absolument et littéralement.


Gardant les règles de la langue arabe
que je viens de mentionner à l’esprit, il sera clair pour tout chercheur de vérité que le terme « Khatamoun-Nabiyyin » tel qu’il est utilisé dans la louange du Saint Prophète, ne peut que seulement dire qu’il est le meilleur prophète le plus parfait et suprême qui, de parmi tous les prophètes a atteint le dernier, et le plus haut rang dans l’apostolat. Aucun prophète supérieure ou plus grand que lui ne pourra apparaître après lui, mais l’apparition d’un prophète, subordonné à lui ne peut être contraire à ce titre. C’est ce que le Saint Prophète ainsi que les savants de l’Islam ont compris par ce terme.

 

Le Saint Prophète Hazrat Muhammad (pssl) aurait dit de Hazrat Ali : “Ô Ali tu es le Khatamul-Auliya” tout comme je suis le Khatamul-Ambiyya.” (Tafsir-Safi p. 111)


Evidemment cette parole ne pouvait pas signifier que Hazrat Ali fut le dernier
Wali (Ami de Dieu). Il ne peut que signifier qu’il était le meilleur Wali tout comme le Saint Prophète était le meilleur Nabi. Et comme il est prévu, la majorité des savants de l’Islam qui sont aveuglés par un seul sens de « Khatam » nie la source comme faible et sans chaîne de transmission. Il est à préciser que des milliers de hadiths qui contiennent la vérité provenant de la bouche du Prophète d’Allah (pssl) ont été mis de côté et fait oublier que parce qu’ils ne correspondent pas à leur analyse et interprétation littérale des paroles du Saint prophète de l’Islam. Ainsi, de nombreux hadiths concernant la fin des temps et l’avènement du Mahdi et le Messie comme étant une seule et même personne et originaire de aucune autre communauté que l’Islam ont été réduits au silence et effacés de l’histoire. Mais Allah a le pouvoir de révéler encore une fois les enseignements cachés et de redonner à l’Islam sa gloire en révélant le vrai sens des paroles de son prophète parfait Hazrat Muhammad (pssl).


Hazrat Aicha, l’épouse du Prophète Muhammad (pssl) est rapportée pour avoir dit du Saint Prophète (pssl) :
« Dites qu'il est le Khâtam-an-Nabiyyîne, mais ne dites pas qu'il n'y a pas de prophète après lui. » (Durul-Mansour Vol. 5, p. 104 et Takmila Majmaal Bihar Vol. 4, p.85)


Maintenant, si
« Khatam » signifiait ‘Dernier’, alors pourquoi ne pas le dire? Certains chercheurs confus et insolents ont condamné ce dire de Hazrat Aicha comme « sans valeur ». Mais on peut se demander ce qu’ils disent des dires de tous les saints et savants de l’Islam qui ont toléré une telle déclaration « sans valeur » dans la littérature islamique depuis plus de mille ans et qui ont même commenté et expliqué cette déclaration. Par exemple, l’Imam Mohammad Tahir (mort en 986 H) a fait les commentaires suivants :


« Cela (cette déclaration) est en vue de l’avènement d’Isa, et ce n’est pas contraire au Hadith « aucun prophète après moi », parce que par cela, il (le Saint Prophète) voulait dire qu’il n’y aurait pas de prophète qui abrogerait sa loi. » (Takmila Majmaal Bihar p. 88)


Hazrat Mohyuddin Ibn Arabi (mort en 638 H) écrit:
« L’apostolat qui a pris fin avec le Saint Prophète est celle de la législation (loi divine) et non l’institution même de celle-ci... Et par ce dire: « Aucun prophète après moi » il voulait dire qu’aucun prophète ne peut venir qui serait contraire à sa loi, mais plutôt tout prophète qui apparaîtra après lui, sera sous sa loi ».


Et plus loin, il est expliqué :
« ... alors l’apostolat continuera jusqu’au Jour du Jugement, mais (celui de) la Loi a pris fin, et d’apporter la Loi est seulement une partie de l’apostolat... Isa descendra sans loi, mais il serait un prophète sans aucun doute ». (Fatuhate-Makia Vol. 2, p.3, 100)


Allama Abdul Wahab Shirani (mort en 972 H) écrit:
« Sachez-le que l’apostolat n’est pas absolument terminée ; seulement l’apostolat porteuse de loi a été enlevée... » « Il y a eu des prophètes dans le monde par le passé et il y aura dans l’avenir aussi, mais ils seront subordonnés à la loi du Saint Prophète. La plupart des gens, cependant, ne savent pas cela. » (Al-Yawakit-wal-Jawahar)


Imam Fakharuddin Razi (mort en 606 H) explique:
« Il est essentiel pour « Khatam » d’être suprême. Regardez ! Tout comme le Saint Prophète a été déclarée suprême en raison d’être « Khatam » de parmi toutes les créatures physiques ». (Tafsir-e-Kabir Vol. 6, p. 31)


Avant d’examiner le contexte de l’expression
« Khatamoun-Nabiyyin » analysons le sens littéral du mot « Khatam ».

 

« Khatam » signifie ‘le sceau’, qui est défini comme ‘un instrument qui laisse son empreinte sur d’autres choses’. Le but principal de créer cette impression en utilisant un sceau, est destiné à attester, à vérifier ou à émettre quelque chose sur l’autorité du porteur du sceau. Littéralement parlant, donc, ‘le sceau’ des prophètes signifierait un prophète qui atteste et vérifie l’apostolat d’autres prophètes et dont l’obéissance complète et parfaite peut laisser une ‘impression de l’apostolat’ sur ses disciples parfaits et choisis.


Le fait que le Saint Prophète (pssl) sert de source de toutes sortes de bénédictions spirituelles dont l’apostolat, est fermement soutenu par le verset (4 : 70), qui atteste:


« Et quiconque obéit à Allah et au Messager – ce sont ceux à qui Allah a accordé des faveurs de parmi les prophètes, les véridiques et les martyrs et les vertueux. Et excellent sont ceux comme compagnons. »


Il ressort de ce verset que les quatre rangs spirituels mentionnés sont maintenant réalisables par l’obéissance du Saint Prophète. La signification de ce verset devient encore plus claire quand on le compare avec le verset (57 : 20) qui stipule:


« Et ceux qui croient en Allah et en Ses messagers, ils sont les véridiques et les martyrs en présence de leur Seigneur. »


En analysant les deux versets ensemble, on peut facilement déduire que, tandis que les adeptes de tous les « messagers » en général pourraient atteindre les rangs de martyrs et de véridiques
(Siddiqeen) et pas plus, les adeptes du Saint prophète de l’Islam peut aller encore plus haut et être béni avec l’apostolat si et quand nécessaire.


Il faut noter que le sens de ‘fermer’ ou de ‘finir’ quelque chose, qui est souvent lié avec le mot ‘sceau’ n’est pas son sens ou objet réel. En fait, le sceau est mis sur une enveloppe ou verrou non pas pour fermer, mais pour attester la fermeture. La fermeture se fait toujours par mettre de la gomme ou un verrou, tandis qu’un sceau est appliqué pour attester que la fermeture a été fait par le propriétaire du sceau. Si le sceau n’est pas claire ou est tempérée alors la fermeture de l’objet peut être rejetée parce que le but
de l’attestation est en vain dans ce cas. Donc, le but réel et primaire du sceau reste ‘à témoigner ou à émettre’ quelque chose en créant son impression sur d’autres objets.


Le Maulana Muhammad Qasim Nanotvi, fondateur de l’école de pensée « Déobandis » dans l’Islam, a expliqué le mot
« Khatam » comme suit : « Tout comme le Khatam (sceau) laisse son impression sur les objets, de même la personnalité lumineuse (du Saint Prophète) a le même effet sur ses nobles disciples... » « L’apostolat du Saint Prophète est intrinsèque à sa personnalité bénie tandis que celle des autres prophètes n’est que des reflets. D’autres sont des prophètes de par sa grâce, mais quant à lui il est prophète par la grâce de personne (d’aucun prophète), et c’est ainsi que la prophétie se termine avec lui. Il est, par conséquent, prophète de Dieu, ainsi que le prophète des prophètes. » (Tehzir-un-Nas p. 3, 4 et 10)


Le Maulana Shabeer Ahmad Ousmani, « Cheikh-oul-Islam », de Pakistan tout en commentant le titre
« Khatamoun-Nabiyyin », écrit dans sa traduction du Saint Coran : « ...alors nous pouvons dire qu’il (le Saint Prophète) est le ‘sceau des prophètes’ de par son rang aussi bien que dans le temps, et ceux qui ont atteint le rang de l’apostolat, l’ont obtenu que par l’empreinte de son sceau. »


Etudions maintenant le titre
« Khatamoun-Nabiyyin » dans son contexte parce que c’est seulement à la lumière du contexte que le sens réel et exact d’un mot peut être établi. Allah dit dans le Saint Coran: « Muhammad n’est pas le père d’aucun de vos hommes, mais il est le messager d’Allah et le sceau des prophètes, et Allah est Omniscient. » (33: 41)


L’utilisation du mot ‘mais’ dans le verset est particulièrement remarquable. ‘Mais’ est une conjonction, utilisé pour joindre deux phrases et il sert à éliminer tout doute ou objection qui pourrait éventuellement découler de la première phrase. Maintenant, si le terme ‘Sceau des prophètes’ est interprété comme ‘le dernier des prophètes’, comme il est généralement compris, alors l’information donnée par Dieu dans le verset peut être comprise comme suite :


i) Muhammad n’est le père d’aucun homme, mais il est le dernier de tous les prophètes. Ou que

ii) Muhammad est à la fin de sa lignée. Mais il est à la fin de la lignée des prophètes. Ou que

iii) Muhammad n’a pas de fils après lui, mais il n’a pas de prophète après lui.


Analysez ces phrases à nouveau et voyez que l’utilisation du mot ‘mais’ est absolument faux parce que les deux parties de chaque phrase ont quelque chose de négatif en eux. L’utilisation du mot ‘mais’ exige que, s’il y a quelque chose de négatif dans la première déclaration, l’autre déclaration doit contenir quelque chose de positif ou vice versa. Il est donc nécessaire que si un fait est nié dans la première déclaration, ce refus doit être compensé par reconnaître quelque autre fait positif dans l’autre déclaration.


En supposant que le ‘sceau des prophètes’ signifie chef suprême, de plus haut niveau et de qui sont issus des prophètes, alors analysez encore une fois les mêmes phrases ainsi :


i) Muhammad n’est le père d’aucun homme, mais il est le père (chef) des prophètes. Ou que,

ii) Muhammad est à la fin de sa lignée, mais il est au sommet de la lignée des prophètes. Ou que,

iii) Muhammad n’a pas de fils qui lui succèdera, mais il a des prophètes comme héritiers spirituelles après lui.


L’utilisation de ‘mais’ dans les phrases mentionnées ci-dessus est tout à fait exacte, car l’objection qui se pose en refusant un fait dans la première partie de la phrase est supprimée en reconnaissant un fait similaire, voire meilleure dans l’autre partie de la phrase. (Il faut se rappeler que le prophète est le ‘père’, un ‘père spirituel’ de ses disciples parce que les épouses des prophètes sont déclarés comme ‘mères des croyants’ dans le Saint Coran, spécialement les épouses du Saint Prophète Muhammad (pssl) lui-même, ainsi que les épouses de tous les prophètes qui viendront dans l’obéissance et subordonné
au Saint Prophète (pssl) et ce jusqu’au Jour du Jugement dernier (33 : 7).)


En gardant ces faits à l’esprit, lorsque vous analysez le verset (33 : 41) une fois de plus, alors voyez que quand Allah dit:
« Muhammad n’est le père d’aucun homme (parmi vous) », alors Allah a rejeté la ‘paternité physique’ du Saint Prophète, mais Il compense cette perte avec un grand ‘Mais’ et a ajouté qu’il est le père d’une nation en tant que ‘Messager d’Allah’ et même père des prophètes en tant que ‘Sceau des prophètes’. Le ‘sceau’ mentionné dans ce verset ne pourrait jamais dire ‘le dernier’ ou à la fin. Il ne peut que signifier le sceau qui est à l’origine de quelque chose car ce sont les progénitures physiques du Saint Prophète qui sont niés dans la première partie du verset, et la deuxième partie, doit donc nécessairement reconnaître l’existence de ‘progénitures spirituelles’. Donc, ce qu’Allah veut vraiment dire l’humanité c’est que, bien que Muhammad n’est pas le père biologique d’un homme, mais il est le ‘père spirituel’ d’une nation, et surtout il est le ‘père de prophètes’, donc ayant même des prophètes comme fils spirituels.


Il convient de noter que chaque prophète est le ‘père’ de ses disciples et que les mots ‘Messager d’Allah’ du verset, a fait du Saint Prophète (pssl) seulement le ‘père’ spirituel de ses disciples ainsi que le sont les autres prophètes. C’est le prochain titre de ‘sceau des prophètes’ qui l’a élevé au-dessus de tous les autres prophètes comme ‘père’ des prophètes.


Le Maulana Muhammad Qasim Nanotvi explique encore:
« Les gens ordinaires pensent que le Saint Prophète est le `Khatam' dans le sens qu'il est le dernier de tous les prophètes. Mais pour les gens doués d’intelligence, il est clair qu'il n'y a aucun honneur à être le premier, ou le dernier ou le dernier dans le temps. Dans ce sens, il est donc incorrect de dire en le louant (le Saint Prophète) ‘qu'il est le Messager d'Allah et le Dernier des Prophètes’… Le vrai sens de ce verset est que le Saint Prophète ne possède pas la paternité physique de qui que ce soit mais possède la paternité spirituelle de ses disciples aussi bien que des prophètes. » (Tehzir-an-Nas p. 2 et 10)


Alors le sceau après avoir fixé une distinction montre également combien parfait le Saint Prophète de l’Islam (pssl) était comme prophète porteur de loi. Il était le chef de parmi tous les prophètes et l’homme le plus exalté en position dans les yeux d’Allah, et cela le fait l’excellent modèle que toute l’humanité doit suivre. Il est le modèle à suivre et ceux qui le copie, en mettant en pratique ses enseignements dans la meilleure façon, alors cela ne fait aucun doute qu’Allah (l’Exalté) peut faire ces gens atteindre le degré d’apostolat par leur obéissance à ce prophète exemplaire qui
était non seulement une source d’inspiration pour l’humanité afin qu’elle se perfectionne, mais aussi à ses disciples où il les a inspiré d’embrasser son chemin car c’est de cette manière qu’ils pourront accéder aux fruits de l’apostolat qu’il a planté avec l’Islam. Des fruits spirituels, et non pas des fruits physiques, tout comme il était un père spirituel pour l’humanité et les prophètes, et non pas un père biologique pour des fils adultes.


Qu’Allah vous permette à tous mes chers disciples et chercheurs de la vérité de réaliser cette vérité et puissions nous tous suivre le modèle que notre père spirituel parfait Hazrat Muhammad (pssl) représente
(je dis ‘est’ parce que ses enseignements sont vivants, même si notre Saint Prophète Muhammad (pssl) est mort), parce que nous sommes temporaire dans ce monde et avons le devoir de nous conformer aux vérités révélées par Allah tant qu’il y a le souffle en nous pour respirer la vérité d’Allah. Incha-Allah, Ameen.